Si on dit aux gogos « open air » avec « opening », « remixes » et « set groovy », les gogos se disent : « Wow, je ne comprends pas grand-chose, mais c’est en anglais, donc c’est trop cool ! ».
Alors que si vous leur dites qu’il s’agit d’un concert en plein air, avec concert d’ouverture, reprises de morceaux connus et prestation rythmée et dansante, les gogos se sentent lésés et déprimés.

C’est cet article d’actu.fr qui nous inflige cette calamité.
Calamité suivante : les nuisances sonores
Au-dela de l’enfumage, il y a le bruit : « Le Poney Club, ce bar musical branché de Toulouse, installé (…) à l’aéroport, a encore reçu des plaintes pour nuisances sonores auprès d’un collectif d’habitants Le calme chez nous. »
Mais les gogos et les organisateurs n’ont cure du bien-être d’autrui. L’important, c’est qu’ils s’amusent et consomment.
