Dans les années 1990, nous avons vu apparaître en France des tags (littéralement : étiquettes), signatures stylisées de désœuvrés cherchant à exister, qui se sont octroyés le droit d’enlaidir nos villes.

Plus grave : autrefois, les graffitis étaient considérés comme une source de pollution visuelle et, généralement, promptement effacés. Actuellement, les tags sont reconnus comme une forme artistique, à tel point que certaines municipalités invitent ces « artistes », appelés « taggers » ou « graffeurs », à « enrichir culturellement » les murs de leur commune.
Désormais, dans nos villes, voire dans certains de nos villages, nous sommes confrontés à ce vandalisme favorisé par une idéologie destructrice de notre pays. Beaucoup de communes veulent leur « skatepark » (parc de glisse), pour que les petits français, habillés en « streetwear » (vêtements urbains), puissent ressembler à leurs modèles des ghettos américains « vus à la télé ».
